Daté Barnabé-Akayi : cet écrivain de l’inattendu
Si vous êtes passionnés de littérature, vous vous êtes peut être déjà surpris d’étonnement devant La Disparition, le roman de Georges Perec dans lequel l’auteur évite soigneusement et magistralement d’employer la voyelle « e ». Ou bien vous avez déjà eu un sentiment similaire devant Verre cassé, le roman sans ponctuation du congolais Alain Mabanckou. Vous pourriez avoir le même sentiment à la lecture d’Errance chenille de mon cœur, le nouveau (en fait premier)…